Aujourd'hui, rien de changer....
Va-t-on encore attendre 22 semaines avant d'avoir les portes et le reste des châssis ????
Pour notre part il est grand temps de terminer les plans pour l'électricité...
J'en profite pour rappeler à mon papa que j'aurai bientôt besoin de lui afin de finir le toit plat....bâche EPDM, isolation + lestage ;)
Schtroumpf bricoleur alias Jean-marie
mercredi 17 mars 2010
mardi 16 mars 2010
Pose des châssis 2ème jour
lundi 15 mars 2010
J + 7
dimanche 7 mars 2010
J-1...On croise tjs les doigts ;-)
Ciel bleu, soleil, température -4°C
Pourvu qu'ils viennent bien demain....
Petit descriptif de notre vitrage....
Heat Mirror, du vitrage « intelligent »
C’est un peu mon bébé, dit tout de go Albert Dero, conseiller technique pour la société Eurotherm. J’ai suivi cela de A jusqu’à Z. »
Le « bébé », c’est le vitrage Heat Mirror assemblé depuis quinze ans par Eurotherm à Beveren. « Tout a commencé aux Etats-Unis dans les années 80, précise notre homme. Quand la Nasa a demandé au MIT (NDLR : le très célèbre “Massachusetts Institute of Technology”) de lui confectionner un film d’une grande transparence lumineuse et peu sensible aux variations de température. »
Ce film, la firme américaine Southwall a l’idée de l’intégrer à un double vitrage, glissé entre les deux feuilles de verre. Le Heat Mirror est né. Depuis quinze ans, Eurotherm distribue ce produit en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas et dans le Nord de la France. « C’est le meilleur, insiste Albert Dero. Ce vitrage offre une bonne protection solaire, une bonne isolation en hiver et une bonne protection contre les UV. »
Chiffres à l’appui. Alors qu’un double vitrage classique laisse passer 76 % de la chaleur des rayons du soleil, le filtre atteint le résultat de 29 % placé verticalement et 20 % placé horizontalement. « Idéal pour éviter de cuire dans une véranda », plaisante-t-il.
De même, son coefficient d’isolation thermique peut atteindre de meilleurs résultats que celui d’un vitrage traditionnel (U pouvant atteindre 0,5 W/m2K, contre 1,1 ou 1,0 pour un double vitrage « simple »). Enfin, il ne laisse presque plus passer la partie nuisible du spectre solaire que constituent les UV (0,5 % contre 74 %). « Plus de tissus qui décolorent à cause du soleil ! » Mieux : il est possible de jouer sur les paramètres d’isolation thermique, afin d’adapter le vitrage aux bâtiments passifs ou basse énergie. « Je dis toujours que ce vitrage est intelligent, mais en fait, c’est le soleil qui l’est. »
Fierté de la société, le Heat Mirror a servi à équiper la station polaire internationale Princesse Elisabeth. « Le cahier des charges demandait de pouvoir résister à des températures allant jusque moins 80 % degrés et des vents atteignant 280 km/h. Mais surtout, il fallait être capable d’adapter la pression interne du vitrage entre ici et là-bas. Nous avons été les seuls à pouvoir fournir cela. »
Pourvu qu'ils viennent bien demain....
Petit descriptif de notre vitrage....
Heat Mirror, du vitrage « intelligent »
C’est un peu mon bébé, dit tout de go Albert Dero, conseiller technique pour la société Eurotherm. J’ai suivi cela de A jusqu’à Z. »
Le « bébé », c’est le vitrage Heat Mirror assemblé depuis quinze ans par Eurotherm à Beveren. « Tout a commencé aux Etats-Unis dans les années 80, précise notre homme. Quand la Nasa a demandé au MIT (NDLR : le très célèbre “Massachusetts Institute of Technology”) de lui confectionner un film d’une grande transparence lumineuse et peu sensible aux variations de température. »
Ce film, la firme américaine Southwall a l’idée de l’intégrer à un double vitrage, glissé entre les deux feuilles de verre. Le Heat Mirror est né. Depuis quinze ans, Eurotherm distribue ce produit en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas et dans le Nord de la France. « C’est le meilleur, insiste Albert Dero. Ce vitrage offre une bonne protection solaire, une bonne isolation en hiver et une bonne protection contre les UV. »
Chiffres à l’appui. Alors qu’un double vitrage classique laisse passer 76 % de la chaleur des rayons du soleil, le filtre atteint le résultat de 29 % placé verticalement et 20 % placé horizontalement. « Idéal pour éviter de cuire dans une véranda », plaisante-t-il.
De même, son coefficient d’isolation thermique peut atteindre de meilleurs résultats que celui d’un vitrage traditionnel (U pouvant atteindre 0,5 W/m2K, contre 1,1 ou 1,0 pour un double vitrage « simple »). Enfin, il ne laisse presque plus passer la partie nuisible du spectre solaire que constituent les UV (0,5 % contre 74 %). « Plus de tissus qui décolorent à cause du soleil ! » Mieux : il est possible de jouer sur les paramètres d’isolation thermique, afin d’adapter le vitrage aux bâtiments passifs ou basse énergie. « Je dis toujours que ce vitrage est intelligent, mais en fait, c’est le soleil qui l’est. »
Fierté de la société, le Heat Mirror a servi à équiper la station polaire internationale Princesse Elisabeth. « Le cahier des charges demandait de pouvoir résister à des températures allant jusque moins 80 % degrés et des vents atteignant 280 km/h. Mais surtout, il fallait être capable d’adapter la pression interne du vitrage entre ici et là-bas. Nous avons été les seuls à pouvoir fournir cela. »
jeudi 4 mars 2010
mercredi 3 mars 2010
mardi 2 mars 2010
lundi 1 mars 2010
Tempête Xynthia
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